Bookclub de novembre 2025 : « Les sorcières du phare

Le pitch

Au sommet des falaises d’une île écossaise, se dresse un phare. Dans le passé, des événements aussi terribles qu’étranges s’y sont produits. Tout a commencé par une chasse aux sorcières… Aujourd’hui, des siècles plus tard, les habitants de l’île disparaissent mystérieusement.

Liv Stay et ses trois filles ne croient ni aux sorcières ni aux malédictions. Mais quelques mois après leur arrivée sur l’île, Clover et Sapphire sont introuvables et Liv reste seule avec Luna.

Vingt ans plus tard, une des deux sœurs disparues de Luna réapparaît. Elle est exactement telle que Luna se souvient. Le même visage. Le même sourire… Le même âge. Face à l’impossible, c’est à Luna de découvrir ce qui s’est réellement passé au phare, il y a tant d’années.

Nos avis

Clémence J. a bien aimé l’histoire et le côté fantastique, cela correspondait à ce qu’elle voulait (ambiance nature, halloweenesque…). Le happy end l’a un peu déçue, mais elle a dans l’ensemble passé un bon moment.

Alban a plutôt bien aimé, a trouvé le livre sympa, même s’il manquait de crédibilité et de réalisme. Certains sujets n’étaient pas suffisamment maîtrisés et il y avait, selon lui, un problème de cohérence dans l’histoire.

Tatiana a apprécié le livre. Comme Alban, elle a ressenti une incompréhension sur les services sociaux qui manquent de crédibilité. La fin, avec la prédiction, lui a plue.

Clémence D. a bien aimé la lecture, l’univers, mais sans plus. Cela devrait donner lieu à une série Netflix sympa. Elle a par ailleurs relevé des incohérences.

Mickaël a trouvé l’histoire compliquée à suivre avec les-va-et-vients temporels, il n’est pas à l’aise avec ce mode narratif qui le perd. La dénonciation du traitement des femmes qualifiées de sorcière ne marche pas dès lors qu’une femme est vraiment sorcière, cela dénature le propos. Il était un peu déçu car il adore les histoires de sorcières.

Nos coups de coeur

Clémence J. : L’amulette de Michael Mc Dowell ; L’énigme de turnglass de Gareth Rubin

Tatiana: Ici s’arrête le monde de Barbara Abel ; La dernière chanson d’amour de Lucinda Riley

Mickaël : L’amulette de Michael Mc Dowell